La vérité qui dérange !

« ASEI.com » est un journal d'entreprise. Comme l'ensemble de ces publications, l'objectif n'est jamais de délivrer une information objective mais :

• de justifier, les actes et décisions de l'employeur.

• De créer l'illusion d'une « culture d'entreprise », une sorte de « Pays des Bisounours » pour celles et ceux qui avaient l’âge de regarder les émissions du « club Dorothée »dans les années 80.

Dans le dernier bulletin patronal de l'ASEI, on trouve un article, qui illustre ce que nous venons d'affirmer.

Tordre, la réalité pour la rendre acceptable, est bien l'objet de l'article sur le

centre James Bouron de Saint Pé de Bigorre.

Premier point : L'activité pour le centre James Bouron pouvait être maintenue, comme l'atteste le rapport de l'expertise commandée par le comité central d'entreprise.

Deuxième point : L'ASEI a transféré des moyens budgétaires, en particulier grille des personnels, pour le projet Ramonvillois.

Troisième point : L’accompagnement des personnels, est le résultat de l'action intersyndicale avec les salariés en désaccord avec la fermeture de l'établissement, qui sinon se seraient retrouvés licenciés dans les pires conditions. Preuve en sont les ruptures conventionnelles proposées au départ.

Qu'on le veuille ou non, il s'agit d'un plan social, et non du maintien de l'activité et des emplois !

Jamais dans l'histoire de l'association, un directeur général n'avait pris l'initiative de fermer un établissement, et de licencier autant de salariés.

Dernier point : Ce tract ne sera pas distribué au 3000 salariés de l'ASEI, comme vous est adressé « ASEI.com », les syndicats ne disposant pas des moyens logistiques dont dispose nos patrons pour endormir leurs employés.

Notre seule force est que chacun d 'entre nous fasse circuler cette information.

Aujourd'hui, l'ASEI, ferme des établissements, licencie, pratique la répression syndicale.

Nous ne laisserons pas faire !